Vous aimez raconter d'horribles histoires.
Faire du mal aux gens est votre divertissement.
Vous vous moquez des conséquences, c'est choquant!
Les souffrances sont gravées dans la mémoire.
Quand le peuple est entrain de mourir de faim,
Les dirigeants s'enrichissent et vivent dans l'opulence.
Aujourd'hui, on fait de la politique sans conscience.
Le peuple survit, se révolte, se bat jusqu'à la fin.
Je me sens oppressé par toutes vos divagations.
Le mot "marginal", vous avez écrit sur mon front.
Parce que différent, vous me frappez avec un bâton.
Le sang des innocents coule, c'est une trahison !
Pourquoi ne me laissez-vous pas tranquille ?
Je veux seulement être aimé et me sentir libre.
Oppressé, je suis, dans ma tête, je ne peux plus vivre.
Vos attaques répétées me poursuivent jusqu'à la ville.